1, 80-81 : sunt nobis mitia poma / castaneae molles. Dans le chant 3, Adam se défendra face à Dieu, en invoquant justement la confiance qu’il avait en sa femme comme Dieu lui-même le lui avait demandé lors de la création31. »78. 55 ; v. 220-221 /Aen. Si les mêmes mots ne sont pas utilisés dans la poésie classique, en revanche on trouve des expressions synonymes à propos des femmes amoureuses. 1, 2, 93 : Et sibi blanditias tremula componere uoce ou Ov. Aleth. Take a look back at the talented actors and actresses who took home a Golden Globe for Best Actor/Actress in a Motion Picture – Drama since the category was created in 1951. La Genèse relève en effet que « Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs que le Seigneur Dieu avait faits ». ego cana legam tenera lanugine malacastaneasque nuces, mea quas Amaryllis amabat;addam cerea prun… 25 Augustin, conf. Written by Après avoir charmé son ouïe de son murmure trompeur (v. 204), c’est lui qui prend l’initiative de cueillir une pomme : la pesanteur du v. 210 avec son accumulation de spondées illustre bien la lenteur de l’approche et tandis que l’adjectif letali à la penthémimère du vers marque tout la solennité de l’acte mortel, le rejet du verbe detrahit au début du vers suivant rend la soudaineté du geste lui-même72. 35Nous avons là la reprise de l’image type de l’entreprise de séduction masculine contre laquelle Properce met en garde Cynthie (1,11, 13-15) : uacet alterius blandos audire susurrosmolliter in tacito litore compositamut solet amota labi custode puellaperfida, communis nec meminisse deos !58. 18 Par exemple Catulle 13, 8-12 ; Tibulle 3, 4, 28sqq ; 3, 8, 15sq ; Properce 3, 10, 11sq et 3, 17, 29sqq : la femme amoureuse reçoit le parfum comme arme de séduction. Hypothèse: Ève étant peut-être peu expérimentée, dans la noirceur de la nuit, a-t-elle pu croire à un serpent ayant perpétré l'acte? But what does it matter? 8, 60. Dans cette perspective, la faute d’Adam est « une condescendance injustifiée à l’égard de son épouse, l’effet d’une bienveillance amoureuse »85 et la faute originelle est donc un « désordre dans l’amour conjugal ». 6, 21 (parole adressée à Jason par Hypsiphyle). 77 C’est le cas de la première représentation connue (avant 256) sur le baptistère de Doura Ouropos, puis dans la catacombe de Domitilla (vers 315). She will live happily with the man of her heart for the rest of her days. 20Comme dans notre passage, il s’agit de faire basculer une femme hésitante, partagée entre un amour filial, légitime, et une passion sensuelle et dangereuse qui l’amènera à sa perte34. Ce n’est qu’à ce moment-là, que définitivement vaincue, Ève prend elle-même la pomme (sumeret ipsa à la fin du vers 230). Si, par l’eucharistie, le fidèle rencontre Dieu et le bien, en revanche, par l’ingestion de la pomme, Ève va rencontrer le mal, ce qu’exprime Avit en décrivant Ève séduite sous les traits d’une femme en proie à un furor qui évoque l’égarement de l’amoureuse séduite puis délaissée (2, 238-39)89 : audacia primumflabat femineos animosa in corda furores. 3, 21sqq ; 5, 113sqq) : voir Hecquet-Noti, Histoire spirituelle, t. 1. p. 121-124. 3, 21-22 : voir B. de Vregille et L. Neyrand, Apponius, Commentaire sur le Cantique des cantiques, t. 3 (SC 430), Paris 1998, note 1, p. 170-171. En effet, dans le Cantique des cantiques, texte interprété comme un poème d’amour chrétien symbolisant les noces du Christ et de l’Église, un arbre appelé malum est mentionné à plusieurs reprises68. P. Agaësse et A. Solignac, La Genèse au sens littéral en douze livres, t. 2 (Bibliothèque augustinienne no49), Paris 1972, A. Arweiler, Die Imitation antiker und spätantiker Literatur in der Dichtung De spiritalis historiae gestis des Alcimus Avitus, Berlin/NewYork, 1999, H. Crouzel, Origène et la « connaissance mystique », Paris-Bruges 1961, W. Deonna, Evodia, croyances antiques et modernes : l’odeur suave des dieux et des élus, Torino 2003, P. A. Deproost,« La mise en scène d’un drame intérieur dans le poème Sur le péché originel d’Avit de Vienne », Traditio 51 (1996), p. 43-72, D. Fasciano, « La pomme dans la mythologie gréco-romaine » dans J. En touchant la pomme, elle s’approprie définitivement l’objet du désir : le rôle du serpent est terminé, puisque la tentation a commencé à être efficiente. Georges, a medical student, falls in love with Louisette, his pretty neighbor, and gets engaged to her. 60 P. ex. Nicole Hecquet-Noti, « Ève et le serpent, une réécriture chrétienne de la rencontre entre Médée et Jason », Dictynna [En ligne], 4 | 2007, mis en ligne le 29 novembre 2010, consulté le 02 mars 2021. 225 ; anguis en 2, 137. Comment et pourquoi Avit a-t-il ainsi amplifié le récit biblique ? 634). She will live happily with the man of her heart for the rest of her days. Le serpent maléfique arrive et réussit à convaincre Ève de prendre une bouchée du fruit défendu et voilà, le monde est plongé dans un état de chaos, de mort et de destruction dont il ne s’est toujours pas remis. Aestuat ancepsdiuidui cordis dura inter proelia fluctus.35. Ève et le Serpent Cet article est une ébauche concernant un film français. Phèdre s’adresse ainsi à Hippolyte lorsqu’elle veut lui écrire : pudor est miscendus amori (Ov. supra la discussion à propos de cette expression reprise d’Ovide. C’est justement le péché originel qui va pervertir les sens charnels, ce qui va obliger l’homme à une ascèse pour les purifier et permettre ainsi par le truchement de ces sens redevenus spirituels de retrouver le contact avec Dieu. 26Dans sa lettre, Médée adresse des reproches à Jason qu’elle décrit comme un être fourbe et rusé en usant des mots qui rappellent les qualificatifs utilisés par Avit pour le serpent44, esquissant ainsi un renversement des situations des personnages entre les deux histoires : en effet, comme le relève Valerius Flaccus (8, 92sq), l’amour pur et légitime liant Médée au serpent va être brisé par l’arrivée de Jason, le tentateur, qui séduit Médée par une irrésistible passion. 10, 677) : audacisque măli titubans sub pondere dextra. Toutefois, Avit ne décrit pas le jardin dans le chant 2, car il a consacré toute la fin du chant précédent à une très longue et minutieuse description de cet hortus deliciarum (1, 191-298) qui s’inscrit dans la tradition littéraire du locus amoenus13. D. Fasciano, « la pomme dans la mythologie gréco-romaine » dans J. 5 Alors que les autres épopées bibliques donnent brièvement la parole au serpent, Avit au contraire construit une très longue scène de dialogue entre Ève et le serpent (2, 136-203) : voir Hecquet-Noti, Histoire spirituelle t.1 p. 177-181 et Deproost « La mise en scène … ». 51, p. 80, 35-81, 3 (Peiper in MGH AA, VI,2) : voir désormais la traduction anglaise de D. Shanzer et I. 2De fait, si, dans cette description, Avit a principalement pour source le texte biblique et l’Ėnéide, il me semble que le modèle de référence doit plutôt être recherché du côté de la poésie érotique, en particulier dans la poésie élégiaque, avec laquelle le poète entretient un dialogue constant mais discret que je chercherai à expliquer en le replaçant aussi bien dans le contexte littéraire du poète que dans l’environnement théologique de l’évêque. 79 P. Robin (p. 23) relève l’intention moralisatrice de telles représentations, où Adam, conscient de sa désobéissance, mais incapable de résister à sa tentatrice, est « représenté tête baissée, épaules courbées » (en particulier sur le sarcophage de Junius Bassus datant de 359, ou sur un fond de verre de Cracovie). URL : http://journals.openedition.org/dictynna/148 ; DOI : https://doi.org/10.4000/dictynna.148, Université de GenèveNicole.Hecquet@lettres.unige.ch. Met. Vénus s’exécute et répond à Junon : nec tibi cum primos adgressa es flectere sensusuirginis ignotaque animum contingere curadefuimus33. Epist. Même s’il y a un lien évident entre la Didon virgilienne et l’Ève d’Avit, la structure de l’ensemble de la scène et le rôle essentiel du serpent/tentateur conduisent plutôt à voir en Ève une réécriture originale de la Médée amoureuse des poètes classiques. 38C’est donc elle qui est active dans toute cette scène. Comme dans la Genèse, le poète n’explique pas son absence, il ne le fait pas sortir de scène, mais, après la tentation d’Ève, il le fait revenir vers sa femme, suggérant ainsi qu’il s’en est éloigné auparavant21. 21 V. 235-237 : « Ignorant le fait (scil. 29C’est d’ailleurs ce même pudor que Marius Victor oppose à timor lorsqu’il décrit les hésitations d’Ève par une variation, sans équivoque, sur l’expression ovidienne reprise par Avit48. Des partis contraires déchirent son esprit: d’un côté, l’amour, de l’autre, la crainte. 4, 9) ; de même Byblis dit à son frère : coget amor….uel si pudor ora tenebit (Ov. Dans l’Alethia, après les paroles quelque peu développées du serpent (1, 398-405a), et un jugement moral porté par le poète lui-même sur cet épisode (1, 405b-411a), Marius Victor ne décrit nullement le geste d’Ève, mais préfère insister sur la participation d’Adam et sur les conséquences du péché pour les deux êtres humains (1, 411-423), seuls deux vers et demi évoquant précisément la tentation d’Ève (1, 411b-414a) : …nam credula postquamrupit sacrilegis praescriptum morsibus Euaexperti iam docta mali, solacia culpaequaerit9. Scit enim Deus quod in quocumque die comederitis ex eo aperientur oculi uestri et eritis sicut dii scientes bonum et malum. Georges and Louisette just have to find work. Dans ce contexte, il ne faut pas prendre sensus comme un synonyme de mens, mais en opposition à cette dernière32 pour distinguer les sens de l’esprit rationnel : la tentation deviendra effective au moment où les sens d’Ève auront été pervertis, ce qui ne sera possible que grâce à la pomme. 1, 423 : hinc timor, inde pudor. Properce, 2, 21, 6 ; Tibulle 3, 10, 18. 16 1, 231-232 : Nam quidquid nobis toto nunc nascitur anno, / menstrua maturo dant illic tempora fructu (« en effet, tout ce qui, maintenant, naît pour nous pendant le long d’une année, là-bas, chaque mois l’apporte à maturation. En fait, la plus ancienne attestation du jeu de mots mālum/mălum se trouve dans la réponse adressée au poète Naevius par les Metelli, qu’il avait critiqués dans une épigramme à double sens : Malum dabunt Metelli Naeuio poetae66. 30 V. 205 : credula…femina, puis plus loin encore, mulier male credula (v. 213). Or, les parfums sont un des éléments essentiels de la sensualité dans la poésie érotique, qu’ils soient utilisés comme moyen de séduction en enveloppant une personne ou qu’ils agrémentent le décor18. C’est encore lui qui l’incite74 à succomber, ce qu’Avit exprime par la prolepse ruina, nom par lequel Médée qualifiait déjà rétrospectivement son amour naissant pour Jason75. Dixit autem serpens ad mulierem : «nequaquam morte moriemini. This FAQ is empty. En effet, dans la Genèse, nous avons d’abord le dialogue serpent – Ève (3, 2-5), ensuite le serpent disparaît de manière aussi subite qu’il était apparu61, puisque l’action se focalise sur Ève qui voit le bel arbre, cueille le fruit, le mange et le donne à son mari (Genèse 3,6) : Vidit igitur mulier quod bonum esset lignum ad uescendum et pulchrum oculis aspectuque delectabile et tulit de fructu illius et comeditdeditque uiro suo qui comedit. Aen. 39 Voir p. ex. Ève, le serpent et la Mort Hans Baldung. Add the first question. »). 36 Voir les nombreux parallèles cités par Deproost p. 64-65 : v. 206-207 / Aen. But Louisette is not Eve and she manages to emerge unscathed from the adventure. 60N’est-ce pas là un indice que donne le poète afin que le lecteur comprenne le jeu de l’allusion au modèle classique, si habilement transposée ? One small hitch is that Georges' father has serious money troubles and cannot support his son anymore. / quae modo decerpens tenero pueriliter ungui / proposito florem praetulit officio.) 23 Deproost, « la mise en scène… » p. 67. 12, 196, Médée utilise l’expression serpens uicta de manière péjorative. 12, 120) : comme elle perdra Ève dont Avit, sur le modèle de Marius Victor29, souligne, dès le début du récit de la tentation, la crédulité30. Cette analyse correspond à l’exégèse qu’ont donnée de la scène les commentateurs chrétiens, en particulier Ambroise et Augustin. Les Anciens pensent que le serpent est immortel, à cause de sa capacité à se régénérer chaque fois qu’il perd sa peau. en 2, 140. 65 Cf. carm. Aux dires d’Ovide, le fraus est le reproche principal que l’on peut adresser aux séducteurs profitant de la credulitas féminine, à l’exemple du fallax Jason abandonnant Médée pour une autre femme53. Epist. 75 V. 225. 69 App. ecl. En effet, après le séduisant discours du serpent, avant de donner la parole à Ève le poète clame, dans une courte diatribe indignée, son étonnement et sa stupéfaction, d’une part d’entendre un animal parler, et d’autre part, de voir Ève répondre à ces paroles inattendues (2, 162-165) : Quis stupor, o mulier, mentem caligine clausit ?Cum serpente loqui, uerbum committere brutonon pudet, ut uestram praesumat belua linguam ?Et monstrum pateris, responsumque insuper addis ?90. A. Deproost a déjà apporté un élément de réponse en montrant la volonté du poète de mettre en scène le drame intérieur12 de la femme en utilisant les ressources de la rhétorique dont l’emprise est considérable dans la poésie tardive. 56L’opposition entre le processus de la tentation et la communion se poursuit dans les conséquences de l’ingestion. 74 Le poète emploie le nom rare et tardif incentor, qui, d’après ThlL VII, 1, 874, 14sq, est utilisé, la plupart du temps, in malam partem, en particulier pour désigner le diable chez les chrétiens. Je voudrais proposer ici une analyse complémentaire à cet article en abordant un point de vue différent de celui de Deproost qui met en évidence avant tout les procédés littéraires et rhétoriques qu’utilise le poète pour composer une scène dramatique. J.-C.) Le texte biblique dit tout autre chose. Ce jeu allusif intertextuel est tout à fait dans l’esprit précieux que revendique Avit en tant que poète, lui qui, dans sa lettre 5145, se place en digne héritier de son oncle Sidoine Apollinaire, le plus éminent représentant de la poésie érudite de la Gaule de la fin du 5ème siècle46. 45En fait, si la nature exacte de l’arbre de la Genèse a suscité bien des interprétations – cep de vigne pour certains, figuier pour d’autres71 –, dans les premières représentations de la scène, la nature stylisée de l’arbre ne permet pas l’identification du fruit. Or, c’est bien l’immortalité, accompagnée de toutes les autres prérogatives divines, que promet le serpent à Ève (v. 200-203). A la différence du texte biblique, cette première étape fait du serpent l’acteur et le maître de la scène et donne à la pomme un rôle central parce qu’elle est, à l’initiative du serpent, pourvue de tous les charmes nécessaires à la séduction érotique. 1, 16. 231. 48Cette description littéraire n’est pas sans lien avec la représentation iconographique de la scène. 22 Présence du mari dans l’élégie : p. ex. Désir et mort se confondent quand Ève, pomme en main, saisit de l’autre la queue du serpent tout en jetant un regard oblique à un Adam déchu, au corps décomposé, qui apparaît sous les traits … 48 Marius Victor, Aleth. Or, on apprend tout de suite que le serpent va bouleverser ce couple, puisqu’il désire subuertere corda, en s’adressant non pas à l’homme dont l’esprit est ferme, mais à la femme, plus faible20. Le verbe subuertere, très peu usité dans la poésie classique, exprime, chez les historiens, le renversement complet de la situation de quelqu’un : cf. 46Après avoir précisé la nature exacte du fruit défendu, Avit innove encore par rapport au récit biblique en décrivant longuement comment le serpent va aider Ève qui, bien que déjà vaincue par ses paroles, hésite encore à passer à l’acte. Ève, la victime du serpent, est présentée comme faible et « pouvant être séduite » par le néologisme seductilis (2, 166) qu’Avit a repris à Augustin25. A plus d’une reprise, elle le porte d’elle-même à son nez et à ses lèvres grandes ouvertes et, ignorante, joue avec sa mort future. L'Éternel m'a permis de manger du fruit de tous les arbres du jardin, sauf de celui-ci. 2 Corinthiens 11:3, par exemple, reprend le thème du serpent qui séduit Ève par la ruse: Mais je crains que, en quelque manière, comme le serpent séduisit Eve par sa ruse, ainsi vos pensées ne soient corrompues et détournées de la simplicité quant au Christ. Nous retrouvons chez Avit le même triangle relationnel, avec une inversion des rôles entre le serpent et l’homme. Directed by Charles-Félix Tavano. Par ce petit tableau, il introduit dans son épopée les caractéristiques de l’expression de la poésie érotique en construisant une véritable scène de séduction digne de la poésie élégiaque comme le montre l’analyse des différents éléments de ce passage. Adam et Ève ont désobéi à Dieu. Lui, Georges. Le serpent joue sur cette hiérarchie qu’il détourne de manière négative : il sait que pour qu’Ève soit séduite, il faut qu’elle ingère le fruit, d’où l’attention qu’il met à rendre la pomme attrayante par son aspect, son parfum. Curieusement toutefois, aucun poète ne décrit en détail le geste d’Ève se saisissant du fruit. Quand il se rendit compte qu’elle était vaincue par le malheur qui la guettait, lui rappelant une fois encore le nom et la citadelle des êtres divins, le serpent cueille, parmi toutes celles de l’arbre porteur de trépas, une seule pomme qu’il agrémente d’un parfum suave. 11Par cette discrète allusion, Avit situe donc la tentation dans un cadre lyrique propre à l’expression des sentiments amoureux et il justifie déjà son choix de la pomme en tant que fruit défendu, point sur lequel je vais revenir. 43Je crois que c’est grâce à la très grande diffusion du poème d’Avit qui a repris le jeu de mots du Ps. On peut aussi relever les autres qualificatifs appartenant au même champ sémantique : simulata figura (2, 72) altior astu (2, 118) ; callidus (2, 183. Tout avait pourtant bien commencé. Michel lutte contre Lucifer pendant la révolte céleste. Plus à propos de cet épisode > [Toutes des vidéos] Michel combat Lucifer. 21Si, comme le signalent plusieurs emprunts au chant 4 de l’Ėnéide36, le modèle premier en est Didon hésitant face son amour pour Ėnée, le personnage d’Ève est aussi la synthèse de nombre de femmes que leur passion amoureuse va exclure de la communauté : les hésitations d’Ève avant de transgresser l’interdit émis par Dieu ne sont pas sans lien avec la confusion de Byblis en proie à un amour interdit pour son frère. Vidit igitur mulier quod bonum esset lignum ad uescendum et pulchrum oculis aspectuque delectabile et tulit de fructu illius et comedit deditque uiro suo qui comedit. 40En effet, précédemment, nous avons vu que la scène se situe dans le cadre lyrique d’un verger où les premiers hommes cueillent des pommes rouges. 9 « En effet, après qu’Ève, dans sa crédulité, eut rompu, par une morsure sacrilège, les prescriptions édictées, instruite désormais du mal qu’elle a expérimenté, elle cherche une consolation à sa faute ». 37 Le groupe était déjà présent dans Met. 67 Sur la large diffusion du poème dans le monde médiéval et sa présence constante dans les canons des poètes latins chrétiens lus au Moyen-Âge, voir Hecquet-Noti, Histoire spirituelle, t. 1, p. 86-92. Or, dans le poème d’Avit, la situation est différente : outre l’amplification par laquelle le poète expose avec précision le décor dans lequel vont évoluer les protagonistes, (v. 136-144) et le long dialogue de persuasion (v. 145-203), Avit innove, d’une part, en caractérisant chacun des deux protagonistes ainsi que nous venons de le voir, et, d’autre part, en décrivant avec minutie le moment du geste fatal. Pulsat iactantia legem / interdumque etiam lex subuenit. Portrait de jeune dame de beauté avec le serpent et la pomme rouge Jeune fille avec le serpent Tentation d'Ève Jeune fille avec le serpent Tentation d'Ève Jeune fille avec le serpent Tentation d'Ève Choses simples - paradis Verre souillé dans les vers Soulagement de bronze sur panneau de porte, église San Giorgio au sommet d'une colline à Portofino, Italie Adam et Eve Serpent de … Guy Bellinger. La vie est un don. Voir en dernier lieu l’article de P. Robin, « Représentation iconographique de la faute d’Adam et Ève dans le premier art chrétien » dans Romanité et cité chrétiennes (Mélanges Y. Duval), Paris 2000, p. 19-30. En effet, comme Ève face au serpent, Atalante hésite face au défi lancé par Hippomène, lequel ne la vaincra que par la ruse en l’obligeant à ramasser la pomme donnée par Vénus et à retarder ainsi sa course : c’est le poids de la pomme qui va sceller la défaite d’Atalante. Ecl. Elle s'appelle Louisette. Met. coniugis auresaggreditur sub uoce pia, sermone malignoinsidiosus adit heu mollia corda puellae :ingerit ore cibos crudeli funere plenos.10 Sunt et caseoli, quos iuncea fiscina siccat.Sunt autumnali cerea pruna die, castaneaeque nuces et suaue rubentia mala14. Zeus lui aurait, sans le faire exprès, donné une potion de jouvence : « Aussitôt qu’il a pressenti sa vieillesse, [le serpent] s’enferme dans un passage étroit, y laisse une peau ridée […] [et il] ne sort de sa caverne que brillant et rajeuni », écrit Tertullien (I…
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